25 février 2010

Ségolène Royal : " Mettons-nous résolument en mouvement ! "

22337_317605617356_801597356_3390195_4295761_n.jpgChers amis, Chères amies,
 
Nous voici dans la dernière ligne droite de la campagne et je vous demande de m'aider en vous mettant en mouvement sur les territoires, en allant valoriser notre bilan et notre projet.
Hier, a lieu la dernière commission permanente du mandat. Elle a permis des prises de parole émouvantes de la part de conseillers régionaux qui ne se représentent pas (Bernard Grasset, Jacques Santrot, Jean-François Fountaine, Jean-François Mémain qui a regretté publiquement le choix des communistes de ne pas avoir fait liste commune avec moi). Cette commission permanente a surtout été l’occasion de travailler jusqu’au dernier moment pour les habitants de Poitou-Charentes, pour que vive et s’amplifie l’excellence environnementale, pour continuer à soutenir Heuliez, pour aider la filière conchylicole, pour promouvoir l’apprentissage, etc.
Nous pouvons légitimement être fiers de notre bilan. L’heure est venue de le défendre et de porter notre projet. Même si je vais me démultiplier durant la campagne officielle, je compte sur vous. Tous les membres de la liste accompliront leur part de travail. Mais vous avez tous un rôle essentiel à jouer et je vous engage à vous démultiplier sur les territoires, à porter notre message sur l’écologie, les emplois et la justice sociale.
Je vous demande d'organiser des points presse locaux sur tel ou tel aspect de notre bilan et de notre projet qui va arriver dans les boîtes aux lettres dans les prochains jours. Appuyez-vous sur des réalisations locales que les habitants de votre territoire connaissent, cela aidera à bien identifier ce que nous avons fait. Notre bilan est notre force, il crédibilise notre projet.
Allez au contact de vos voisins, en porte-à-porte par le dialogue, en utilisant au besoin les documents adaptés à chaque territoire qui vont être mis à votre disposition. Soyez en position d'écoute et de questionnement sur ce que la Région peut faire pour les habitants de Poitou-Charentes et faites nous retour de ce qui vous sera dit.
N'hésitez pas non plus à rétablir la vérité à chaque fois que cela est nécessaire. Plus nous approcherons de la date de l'élection, plus nos adversaires manieront le mensonge et la désinformation, cela a déjà commencé. Vos réponses doivent être courtoises mais fermes. Faites savoir à l'équipe de campagne (sur segolene.royal2010@gmail.com) tout ce que vous entendez sur le terrain. Sur le site de campagne, nous allons mettre en place une rubrique « mensonges et vérité » à partir de ce que vous nous ferez remonter.
Je sais que vous serez très présents sur les marchés. Je souhaite que vous y installiez des points rencontre avec un petit stand aux couleurs de la campagne, avec ou sans tivoli, pourquoi pas avec café offert. C'est un lieu sérieux de dialogue, les gens préférant souvent parler plutôt qu'une simple distribution de tracts.
Vous devez également réaliser des vidéos de témoignage de citoyens qui veulent réagir sur nos propositions ou sur notre bilan, et qui souhaitent dire pourquoi ils soutiennent la tête de liste et son équipe. Nous les mettrons en ligne sur le site de campagne.
Chers amis, voilà une campagne sereine, joyeuse et dynamique qui s'annonce. Vos qualités humaines sont là pour y parvenir. A nous tous de nous mettre en mouvement !
Bien à vous

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23 février 2010

La majorité et l'opposition d'accord sur les violences faites au femmes

L'Assemblée nationale va examiner, jeudi, une proposition de loi sur les violences faites aux femmes. Le texte, proposé notamment par les députés Danielle Bousquet (PS) et Guy Geoffroy (UMP), porte sur le renforcement de la protection des victimes, la prévention et la répression. Il vise à rendre plus aisé le dépôt de plainte pour les femmes qui souvent craignent de perdre la garde de leurs enfants, ou leur logement et pour les femmes en situation irrégulière craignent une expulsion. Une autre proposition de loi (PPL) socialiste, et cette fois sénatoriale, presque similaire, a été renvoyée en commission le 10 février afin que les sénateurs puissent l'examiner en même temps que celle des députés, avec l'objectif de parvenir à un seul texte. "Il est indispensable d'avoir une mobilisation du pays sur ce sujet car ces meurtres au sein du couple représentent près de 20 % des homicides", observe Nadine Morano, la secrétaire d'État chargée de la famille et de la solidarité, dans Le Figaro.

Le texte propose une "mesure phare": une "ordonnance de protection" provisoire des victimes intervenant en amont du dépôt de plainte et permettant de protéger en urgence les femmes en danger, notamment celles menacées de mariage forcé ou de mutilations sexuelles. "Dans l'attente de la décision de la femme menacée concernant d'éventuelles poursuites judiciaires", cette ordonnance permet "d'organiser l'éviction du conjoint violent, ou, si la femme décide de quitter le logement conjugal, d'organiser son relogement pour la mettre hors de portée de son conjoint", souligne Danielle Bousquet. Autre innovation, la création d'un délit spécifique de harcèlement au sein du couple, permettant de mieux prendre en compte les violences psychologiques.
Le texte prévoit également l'accroissement de la sécurité juridique des personnes étrangères victimes de violences de la part de leur mari, de leur concubin ou partenaire de pacs en permettant le renouvellement de leur titre de séjour. Pour M. Geoffroy, il y a un "réel consensus" entre les membres de la commission à l'origine du texte : "Quel que soit leur statut, les femmes n'ont pas à être victimes de leurs conjoints".
La ministre de la justice, Michèle Alliot-Marie, assure que "les moyens seront là" pour la mise en œuvre des mesures de protection des femmes victimes de violences au sein d'un couple, dans un entretien à La Croix, jeudi. "Cette ordonnance de protection permettra aux juges aux affaires familiales de prendre toute une série de dispositions en faveur des femmes en danger. (...) En matière d'hébergement, d'exercice de l'autorité parentale ou d'éviction du domicile du conjoint violent", déclare la garde des sceaux. Le texte prévoit aussi un bracelet GPS imposé aux hommes violents, qui "permettra aux autorités de les suivre et de réagir dès qu'ils approcheront trop près de leurs victimes", souligne la ministre.
LES ATTENTES DES ASSOCIATIONS
Violaine Husson, de la Cimade (principale association française d'aide aux étrangers), regrette que le texte se restreigne aux seules femmes victimes de violences conjugales en confiant ces affaires au seul juge des affaires familiales. Elle insiste sur l'importance de la formation, car la loi existante permettant déjà aux femmes sans papiers de porter plainte, "n'est pas appliquée dans les préfectures et les commissariats". Chantal Brunel (UMP) affirme qu'elle soutiendra l'idée d'"une formation accrue du personnel médical et policier quant au cas particulier de la violence de genre". Amnesty International France préconise la présence d'un référent "violences conjugales" dans chaque commissariat ou unité de gendarmerie.
L'article concernant la formation a en effet été jugé irrecevable en commission, tout comme celui assurant l'aide juridique pour les personnes bénéficiant de l'ordonnance de protection et celui sur la création d'un observatoire national des violences faites aux femmes. M. Geoffroy se dit toutefois "confiant" que le gouvernement "prenne l'initiative de réintroduire ces articles".
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters

Débat Ségolène Royal / Dominique Bussereau [21/02/10]


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22 février 2010

Oui, le bonheur éducatif est possible!

Par Dominique Bertinotti

Le malaise éducatif est très profond. Il touche tous les degrés d’enseignement et tous les acteurs du système scolaire : l’école ne joue plus son rôle de correction des inégalités et ne garantit plus la mixité sociale. Une ségrégation scolaire reproduit donc souvent la ségrégation sociale. Les personnels éducatifs vivent une crise de confiance et de légitimité. Ils sont souvent déconsidérés et peu valorisés dans leurs efforts. Les débuts de carrière sont souvent démoralisants. Les autres personnels de l’Education Nationale sont perçus comme des quantités négligeables. Les parents sont parfois exclus et ont du mal à trouver leur place. L’école, en conservant un fonctionnement élitiste, a créé une compétition qui a un coût très lourd pour la jeunesse. De nombreux élèves sont en souffrance, en rupture ou expriment leur violence face au système. Face aux réformes proposées sans aucune concertation, imposées avec autoritarisme, et toujours précipitées, l’école est donc fragilisée.

Ségolène Royal nous appelait à une lucidité radicale. Plus que jamais, elle est nécessaire pour un projet éducatif novateur et porteur d’avenir. Nous devons donc impulser un nouveau débat sur l’éducation qui sorte des schémas trop classiques. Certes, la diminution drastique des moyens financiers accordés à l’Education Nationale est un problème majeur. La suppression des postes d’enseignants l’est aussi. Mais on ne peut pas se contenter d’un discours fondé uniquement sur les moyens. Les thématiques à proposer peuvent être iconoclastes. Elles doivent aboutir à renouer le dialogue avec et entre tous les acteurs de l’éducation. Il faut s’appuyer sur la réalité de l’école d’aujourd’hui et non sur une vision fantasmée du système.
Nous ne devons plus opposer élèves, professeurs et parents. Il faut redéfinir les objectifs du système éducatif dans son ensemble :

- Repenser un système public d’éducation à partir de la petite enfance et tout au long de la vie

- Repenser la capitalisation des connaissances et des diplômes

- Redéfinir le métier d’enseignant

- Favoriser l’engagement des équipes éducatives

- Repenser la place de l’élève

- Sortir le système éducatif français de la notion de sanction/évaluation/échec

- Donner les outils aux jeunes pour devenir des citoyens bien informés et réactifs par rapport aux enjeux actuels de notre planète.

- Former des citoyens libres, responsables et capables d’apprendre tout au long de la vie.

Il faut répondre au désir d’un nouveau discours de gauche sur l’école, un discours attendu pour remettre l’école au cœur d’un projet politique ambitieux et être à la hauteur des attentes de nos concitoyens. Voilà le chemin vers le bonheur éducatif. Voilà le chemin vers une école de la fraternité.

Parce que la pauvreté n'est pas que dans les chiffres !

Florence Aubenas à Paris, février 2010 (Audrey Cerdan/Rue89)
Comprendre pour mieux répondre aux problèmes de notre société

Depuis 2006, avec la campagne interne du Parti socialiste, Ségolène Royal propose une autre façon de faire de la politique pour répondre aux problèmes « des gens ». Cette idée a suscité et suscite encore beaucoup de sarcasmes chez certains, qui voient dans cette orientation une forme de populisme. Pourtant Ségolène Royal reste déterminée sur cette orientation pour sortir des formules de campagne électorale de type « travailler plus pour gagner plus » et des querelles idéologiques sans lendemain. La présidente de la région Poitou-Charentes, comme elle a pu l’expérimenter dans sa région,  propose de réfléchir aux problèmes de notre société et d’apporter des réponses précises dans le cadre des valeurs de la gauche : une société plus juste et fraternelle.


Balayant les clans et les luttes d’appareils politiques, Ségolène Royal s’attache à redonner un sens à la politique, pour une gouvernance de proximité qui réponde aux réels besoins de la population.
C‘est dans le cadre de cette politique que l’enquête réalisée par Florence Aubenas nous semble particulièrement intéressante. Loin des statistiques, la journaliste s’est immergée durant six mots pour vivre de l’intérieur les problèmes de la précarité. Elle témoigne dans son livre de la violence de ce monde du travail réel. 

Florence Aubenas : pratique de l'immersion en temps de crise
Dans le sillage du journaliste allemand Günter Wallraff, du Français Hubert Prolongeau et de quelques autres, Florence Aubena s'est immergé en milieu précaire, et a cherché un emploi. Résultat : un livre saisissant, et des questions sur une pratique efficace. Entretien.
« Se laisser porter par la vie », « reprendre un temps normal », et « parler de la crise par ceux qu'elle touche » : voilà ce que Florence Aubenas [précision : Florence Aubenas est actionnaire minoritaire de Rue89, ndlr] a décidé de faire.
Entre février et juillet 2009, elle a pris un congé sans solde à son journal (Le Nouvel Observateur), changé sa couleur de cheveux, et est partie voir la situation de l'emploi à Caen. Avec en poche ses vrais papiers et un CV avec un léger trou, elle s'est mise dans la peau d'une femme de ménage et a cherché un travail.

Des journalistes comme modèles

Quand l'idée de cette expérience lui est venue, Florence Aubenas avait lu les ouvrages qui font autorité sur la pratique de l'immersion. Comme « Tête de Turc » (1986) où le journaliste allemand Günter Wallraff prend pour nom Ali Sinirlioglu, et se fait passer pour un Turc à la recherche d'un emploi. Ou le travail d' Hubert Prolongeau dans "Sans domicile fixe" (1997), inspiré de la même méthode. (Voir la video)

Le quotidien d'une femme de ménage

A Caen, elle s'installe dans une petite chambre (loyer : 348 euros) et se plonge dans le quotidien d'une femme de ménage : agences d'intérim, entretiens à Pôle emploi, boulots difficiles…
Dans le reportage que la journaliste tire de cette expérience, elle raconte un monde dont on sait qu'il existe (« je ne prétends pas avoir découvert la précarité ! ») mais dont on ignore ses existences marquées par la perte d'un emploi, et plus encore par la peur de le perdre.
Il y a Marilou, 20 ans. Elle a deux boulots, dans le ménage. Des CDD. Auxquels vient s'ajouter un troisième emploi. Des « heures » à des horaires impossibles. 200 euros touchés lorsqu'elle démissionne. Un « parachute doré », dira son employeur.
Il y a Philippe, rencontré à un forum pour l'emploi. Chômeur. Lucide. Pour lui, perdre son travail, ce n'est pas la mort. A condition de tout accepter ensuite. Accepter de repartir de zéro.
Victoria, l'amie, ancienne syndicaliste qui fait claquer le mot « femme de ménage » bien fort quand on lui demande ce qu'elle faisait plus jeune. Et tant d'autres.
Tout accepter, ce sont des horaires absurdes, tous les jours, toutes les nuits ; des conditions que l'employeur sait que vous n'êtes pas en mesure de négocier. Des jambes en compote, la fatigue et l'indifférence. Ces clients qui lorsqu'ils vous rencontrent ne savent plus où regarder.

Un reportage qui a de la voix

Sans pathos, Florence Aubenas restitue la violence du travail précaire sans jamais oublier les amitiés qui s'y créent, le courage de recommencer tous les jours sans se départir de sa drôlerie et de son courage. Le livre est à l'avenant : écrit au présent (un temps cash), elle présente les faits avec légèreté et fidélité, laisse ses « témoins » dire la gravité de la situation, de la crise, et de la vie.
Elle les laisse aussi dire les contrats qu'ils passent entre eux, faute d'en avoir d'autres : la solidarité, l'écoute, les discussions. De nombreuses discussions inattendues jalonnent le livre. Comme cette accompagnatrice, Mme Astrid, dont le romancier préféré est PPDA.
L'expérience n'était pas aisée : observatrice aisée (parisienne, pas précaire) et participante, elle a transformé cette immersion pied de nez en reportage. Et s'est arrêtée dès qu'on lui a proposé un CDI, pour ne prendre le travail de personne. (Voir la video)

Trop de médiatisation ?

Ce livre est écrit par une journaliste qui est devenue un vrai personnage depuis sa détention (un livre en 2007). Et qui a été fort médiatisée cette semaine. Son visage, connu de tous durant la guerre en Irak, a été en couverture du Nouvel Obs pour annoncer la sortie de ce livre.
Trop de médiatisation ? Florence Aubenas le reconnaît, sa détention l'a rendue célèbre. Elle dit n'en avoir que les aspects positifs : on s'intéresse à son travail, là, à son livre.
Comme elle le dit dans l'interview, et comme le prouve son livre, « les médias ont du mal à rendre le réel », surtout lorsqu'il est immatériel (précarité, pauvreté). Le procédé utilisé (immersion) génère aussi un procédé (la narration) et un tempo (laisser la vie opérer) qui ne sont plus possible dans la presse d'aujourd'hui.
Ce genre d'immersion fera obligatoirement penser aux livres de William T. Volmann sur la violence et sur la pauvreté. Le genre de livres qui font penser que l'écriture est la plus belle des empathies. (Voir la vidéo)

Zineb Dryef et Hubert Artus
Photo : Florence Aubenas à Paris, février 2010 (Audrey Cerdan/Rue89)

Les yeux fermés de Ségolène Royal...

 
 
Ségolène Royal pose, souriante et les yeux fermés, en couverture du magazine du Monde.
Un portrait réalisé spécialement pour l'occasion, par le photographe Denis Rouvre.

Elle est à la fois belle, étrange et courageuse cette photo.
Parce que ce n'est pas facile de poser les yeux clos.
Je me demande quel(le) autre politique de ce niveau accepterait de se laisser aller, comme ça, les yeux fermés...
 
"Le bonheur a les yeux fermés".
Paul Valéry, extrait des Mauvaises pensées et autre

21 février 2010

L'ASSURANCE MALADIE

Pour combler le déficit de la sécu, nos chers gouvernants ont trouvé que le mieux, c'était encore de nous faire payer...
 
a - Dorénavant, sur une consultation médicale, nous versons 1 euro,
b - Nous sommes restreints lors de nos arrêts maladie ...
c - Nous devons consulter un généraliste avant de voir un spécialiste ...
d - Pour tout traitement de plus de 91 euro, nous en sommes de 18 euro de notre poche,
e - Taxe de 0,50c sur les boites
f - etc.......
 
Toutes ces mesures sont destinées à combler le fameux trou qui est à ce jour de 11 milliards. 
Or, savez-vous que :  
1°) Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu, n'est pas reversée.. 7.8 milliards
2°) Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu , n'est pas reversée. 3..5 milliards
3°) Une partie des primes d'assurances automobiles destinée à la Sécu , n'est pas reversée 1. 6 milliard
4°) La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu , n'est pas reversée 1,2 milliard
5°) La part de TVA destinée à la Sécu n'est pas reversée. 2.0 milliards
6°) Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés 2.1 milliards
7°) Retard de paiement par les entreprises 1.9 milliard   
En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards d'euros.
 Conclusion, si les responsables de la Sécu et nos gouvernants font leur boulot efficacement et honnêtement, si chacune des institutions reverse ce qu'ils doivent chaque année , les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd'hui 9 milliards d'excédent!!!!.
Ces chiffres ne sont pas inventés vous pouvez également les consulter sur le site de la sécu, ils sont issus du rapport des comptes de la Sécu.
  Si les pouvoirs publics, qui nous harcèlent au quotidien de messages publicitaires afin de consommer des fruits et légumes, étaient vraiment convaincus qu'il nous faut consommer 5 fruits et légumes par jour pour sauver notre santé et donc l'assurance maladie, ilssupprimeraient la TVA sur ces produits !
  
 N'oubliez pas d'avoir une petite pensée sur l'achat, à la hate, des 90 Millions de doses de Tamiflu par le ministère de la santé publique, quand on sait que la grippe A n'est pas plus mortelle et dangereuse pour vous et moi que la grippe saisonnière classique. Hélas on ne peut en dire autant des dommages colatéraux potentiels qui existent réellement dans les adjuvants que contiennent les vaccins!!!
Quel sera le coût de cette opération, que la sécu va supporter une nouvelle fois, lorsque le gouvernement sera décidé à dédramatiser la situation !!!
  Cordialement.
 
VOUS AUSSI, SOYEZ RESPONSABLES : TRANSFEREZ CE MESSAGE A TOUS VOS CONTACTS, ILS ONT LE DROIT DE   SAVOIR !!!
A force de tourner, il s'affichera peut-être un jour sur l'écran d'ordinateur d'une tête pensante, d'un député, ministre, censé passer son temps à gérer l'argent des contribuables et à le dépenser de manière responsable, sans créer de déficit. Alors, avec courage, il pourra (pourquoi pas ne pas rêver....), dénoncer au parlement ces débordements connus, aujourd'hui, de toutes et tous !!!

 Evelyne DUBIN
Secrétaire Générale de l'Institut National du Développement Local