La principale "exigence" des signataires est "la suspension du zonage et l'ouverture immédiate d'une concertation des maires et des associations avant un nouveau zonage sur la base d'une expertise contradictoire non contestée", a expliqué Mme Royal à la presse à Bourcefranc-le-Chapus, face à l'île d'Oléron.
Ils demandent aussi, selon Mme Royal, "le déblocage immédiat des fonds promis" par le gouvernement, "le respect du principe de rapidité" concernant l'indemnisation auxquels les habitants peuvent prétendre et "l'engagement d'un plan d'urgence des travaux sur les digues".
La région Poitou-Charentes devrait mettre sur pied "un dispositif juridique de soutien" pour les communes et les associations.
La résistance des sinistrés opposés à la destruction de leurs maisons a également pris la forme dans l'après-midi d'une manifestation devant la préfecture à La Rochelle, où se déroulaient des auditions menées par la mission commune d'information du Sénat sur les conséquences de la tempête.
"Xynthia nous a touchés, l'Etat veut nous couler", "Non aux démolitions, oui à la protection" ont lancé les manifestants, qui étaient près d'une centaine venus de Charron, Aytré et des Boucholeurs, village à cheval sur les communes de Châtelaillon-Plage et Yves, selon un photographe de l'AFP.
Les neuf membres de la mission sénatoriale, avant de procéder aux auditions des services de l'Etat, des associations et des acteurs économiques, avaient effectué des "visites de terrain" à Charron et aux Boucholeurs.
"Nous sommes là pour faire en sorte de comprendre ce qui s'est passé. Nous écoutons les habitants et je crois qu'ils sont heureux que nous soyons à leur écoute", a expliqué le président de cette mission, le sénateur (NI) de Vendée Bruno Retailleau, en visitant une maison classée en zone noire.
"On restera là jusqu'à en crever!", lui a expliqué un habitant, Christian Maire, 71 ans, qui est né et vit aux Boucholeurs.
Les sénateurs poursuivent leur "visite de terrain" jeudi en Vendée. Ils doivent produire un premier rapport début mai puis un rapport définitif pour l'été.
Le ministère de l'Economie a annoncé que les sinistrés dont les habitations doivent être démolies dans les "zones noires" inondables n'auront pas à subir la "décote de vétusté" habituellement appliquée par les assureurs quand la maison est reconstruite ailleurs.
Ils demandent aussi, selon Mme Royal, "le déblocage immédiat des fonds promis" par le gouvernement, "le respect du principe de rapidité" concernant l'indemnisation auxquels les habitants peuvent prétendre et "l'engagement d'un plan d'urgence des travaux sur les digues".
La région Poitou-Charentes devrait mettre sur pied "un dispositif juridique de soutien" pour les communes et les associations.
La résistance des sinistrés opposés à la destruction de leurs maisons a également pris la forme dans l'après-midi d'une manifestation devant la préfecture à La Rochelle, où se déroulaient des auditions menées par la mission commune d'information du Sénat sur les conséquences de la tempête.
"Xynthia nous a touchés, l'Etat veut nous couler", "Non aux démolitions, oui à la protection" ont lancé les manifestants, qui étaient près d'une centaine venus de Charron, Aytré et des Boucholeurs, village à cheval sur les communes de Châtelaillon-Plage et Yves, selon un photographe de l'AFP.
Les neuf membres de la mission sénatoriale, avant de procéder aux auditions des services de l'Etat, des associations et des acteurs économiques, avaient effectué des "visites de terrain" à Charron et aux Boucholeurs.
"Nous sommes là pour faire en sorte de comprendre ce qui s'est passé. Nous écoutons les habitants et je crois qu'ils sont heureux que nous soyons à leur écoute", a expliqué le président de cette mission, le sénateur (NI) de Vendée Bruno Retailleau, en visitant une maison classée en zone noire.
"On restera là jusqu'à en crever!", lui a expliqué un habitant, Christian Maire, 71 ans, qui est né et vit aux Boucholeurs.
Les sénateurs poursuivent leur "visite de terrain" jeudi en Vendée. Ils doivent produire un premier rapport début mai puis un rapport définitif pour l'été.
Le ministère de l'Economie a annoncé que les sinistrés dont les habitations doivent être démolies dans les "zones noires" inondables n'auront pas à subir la "décote de vétusté" habituellement appliquée par les assureurs quand la maison est reconstruite ailleurs.
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